À nous de jouer !

DE

Grève pour l’Avenir - Travailler moins pour polluer moins et vivre mieux !

le 9 avril (09h00)

PROGRAMME LAUSANNE
9h00-13h00
STANDS A VEVEY (PLACE DU MARCHÉ) ET LAUSANNE (PLACE DE L’EUROPE)
12h00-14h00
DISCUSSIONS ET REPAS AVEC LE SECTEUR HÔTELLERIE RESTAURATION DʼUNIA (PLACE DE L’EUROPE)
15h00-16H30
MANIFESTATION LAUSANNE
16h30-...
FESTIVITÉS

PROGRAMME GENÈVE
14:00
Départ : Place Lise Girardin
18:00
Arrivée : Place de Neuve


PLUS DE TEMPS LIBRE POUR LUTTER CONTRE LA CRISE CLIMATIQUE

Nous faisons face, simultanément, à de nombreuses crises. Nous sommes en train de dépasser à toute vitesse les limites planétaires.

De plus en plus de personnes tombent dans la précarité. Alors que le système économique capitaliste exige une production et des profits toujours croissants, nous sommes de plus en plus exploité·e·x·s en tant que main d’oeuvre, personnes responsables du travail reproductif (particulièrement les femmes, les minorités de genre et les personnes issues de lʼimmigration) et notre environnement en tant que ressource. Il nʼest donc pas étonnant que les crises se soient multipliées ces dernières années. Elles se renforcent mutuellement et accroissent encore les injustices sociales existantes. Au lieu de réagir à ces crises, le système actuel reste sourd et exige une production toujours plus grande. Notre temps de vie est commercialisé. Le travail salarié perd constamment de son sens et est inéquitablement réparti. En revanche, le travail important pour notre survie, comme le travail de care, qui est majoritairement assuré par les femmes, les minorités de genre et les personnes issues de l’immigration, n’est pas valorisé à sa juste valeur. Au lieu de travailler pour vivre, nous devons vivre pour travailler.

Et s’il existait un moyen qui permettait à la fois de s’attaquer à la crise écologique et de transformer le système économique ?
LA SEMAINE DE PLUS DE 40 HEURES N´EST PLUS TENABLE
La pression à la surproduction nous a mis·e·x·s face à la plus grande menace de notre époque, la crise climatique.
C’est donc au mode de production que nous devons nous attaquer pour la résoudre.
Avec une réduction massive du temps de travail, qui conduirait à une réduction de la surproduction, nous produirions moins de CO2 et serions plus heureuxes. La réduction du temps de travail offre la possibilité d’améliorer nos conditions de vie tout en respectant les limites planétaires. Le fruit de l’augmentation de la productivité doit être redistribué aux travailleureuses.
Lʼobjectif dʼune réduction du temps de travail ne doit toutefois pas consister à effectuer le même travail en moins de temps et avec un salaire inférieur. Le rythme de travail doit donc également être réduit et les salaires maintenus. De nombreux problèmes de santé physique mais également des maladies telles que le burn-out ou les problèmes de sommeil découlent de l´obligation de performance. Avec une réduction du temps de travail, nous pouvons décider plus librement de notre temps.

PLUS DE TEMPS POUR VIVRE !
Si nous travaillions massivement moins, nous gagnerions du temps : du temps pour être ensemble, du temps pour la planète, du temps pour s’organiser, du temps pour des activités épanouissantes et qui ont un sens. La surproduction insensée serait stoppée, et l’économie s’orienterait vers le respect de nos besoins réels et des limites planétaires.
Une meilleure distribution du travail rémunéré permettrait de tendre vers le plein emploi, nous pourrions mettre fin au chômage et à la pression du patronat sur le marché du travail. Le rapport de force dans les négociations sur les salaires et la sécurité sociale pourrait être inversé. Le travail de care serait une tâche collective. En tant que tel, il serait réparti équitablement, valorisé de manière appropriée et ne permettrait pas que les personnes qui s’en occupent (devant souvent viser des temps partiels) tombent dans la précarité.
Nous devons ralentir notre rythme pour bénéficier de plus de temps pour notre famille, nos ami·e·x·s, la culture et l’environnement. Notre bien-être serait considérablement augmenté et un sentiment de communauté se développerait. Organisons-nous pour une réduction massive du temps de travail et un revenu digne.

Rejoignez la Grève pour l’Avenir et récupérons notre temps !

Site internet

PROGRAMME LAUSANNE
9h00-13h00
STANDS A VEVEY (PLACE DU MARCHÉ) ET LAUSANNE (PLACE DE L’EUROPE)
12h00-14h00
DISCUSSIONS ET REPAS AVEC LE SECTEUR HÔTELLERIE RESTAURATION DʼUNIA (PLACE DE L’EUROPE)
15h00-16H30
MANIFESTATION LAUSANNE
16h30-...
FESTIVITÉS

PROGRAMME GENÈVE
14:00
Départ : Place Lise Girardin
18:00
Arrivée : Place de Neuve


PLUS DE TEMPS LIBRE POUR LUTTER CONTRE LA CRISE CLIMATIQUE

Nous faisons face, simultanément, à de nombreuses crises. Nous sommes en train de dépasser à toute vitesse les limites planétaires.

De plus en plus de personnes tombent dans la précarité. Alors que le système économique capitaliste exige une production et des profits toujours croissants, nous sommes de plus en plus exploité·e·x·s en tant que main d’oeuvre, personnes responsables du travail reproductif (particulièrement les femmes, les minorités de genre et les personnes issues de lʼimmigration) et notre environnement en tant que ressource. Il nʼest donc pas étonnant que les crises se soient multipliées ces dernières années. Elles se renforcent mutuellement et accroissent encore les injustices sociales existantes. Au lieu de réagir à ces crises, le système actuel reste sourd et exige une production toujours plus grande. Notre temps de vie est commercialisé. Le travail salarié perd constamment de son sens et est inéquitablement réparti. En revanche, le travail important pour notre survie, comme le travail de care, qui est majoritairement assuré par les femmes, les minorités de genre et les personnes issues de l’immigration, n’est pas valorisé à sa juste valeur. Au lieu de travailler pour vivre, nous devons vivre pour travailler.

Et s’il existait un moyen qui permettait à la fois de s’attaquer à la crise écologique et de transformer le système économique ?
LA SEMAINE DE PLUS DE 40 HEURES N´EST PLUS TENABLE
La pression à la surproduction nous a mis·e·x·s face à la plus grande menace de notre époque, la crise climatique.
C’est donc au mode de production que nous devons nous attaquer pour la résoudre.
Avec une réduction massive du temps de travail, qui conduirait à une réduction de la surproduction, nous produirions moins de CO2 et serions plus heureuxes. La réduction du temps de travail offre la possibilité d’améliorer nos conditions de vie tout en respectant les limites planétaires. Le fruit de l’augmentation de la productivité doit être redistribué aux travailleureuses.
Lʼobjectif dʼune réduction du temps de travail ne doit toutefois pas consister à effectuer le même travail en moins de temps et avec un salaire inférieur. Le rythme de travail doit donc également être réduit et les salaires maintenus. De nombreux problèmes de santé physique mais également des maladies telles que le burn-out ou les problèmes de sommeil découlent de l´obligation de performance. Avec une réduction du temps de travail, nous pouvons décider plus librement de notre temps.

PLUS DE TEMPS POUR VIVRE !
Si nous travaillions massivement moins, nous gagnerions du temps : du temps pour être ensemble, du temps pour la planète, du temps pour s’organiser, du temps pour des activités épanouissantes et qui ont un sens. La surproduction insensée serait stoppée, et l’économie s’orienterait vers le respect de nos besoins réels et des limites planétaires.
Une meilleure distribution du travail rémunéré permettrait de tendre vers le plein emploi, nous pourrions mettre fin au chômage et à la pression du patronat sur le marché du travail. Le rapport de force dans les négociations sur les salaires et la sécurité sociale pourrait être inversé. Le travail de care serait une tâche collective. En tant que tel, il serait réparti équitablement, valorisé de manière appropriée et ne permettrait pas que les personnes qui s’en occupent (devant souvent viser des temps partiels) tombent dans la précarité.
Nous devons ralentir notre rythme pour bénéficier de plus de temps pour notre famille, nos ami·e·x·s, la culture et l’environnement. Notre bien-être serait considérablement augmenté et un sentiment de communauté se développerait. Organisons-nous pour une réduction massive du temps de travail et un revenu digne.

Rejoignez la Grève pour l’Avenir et récupérons notre temps !

samedi 9 avril 2022 de 09h00 à 23h30

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