À nous de jouer !

DE

Rassemblement NO TO WAR, YES TO PEACE !

le 26 février (11h30)

Rejoignez-nous pour protester contre la guerre ce samedi, le 26 février à 11h30 sur la Place des nations à Genève

NON A LA GUERRE, OUI A LA PAIX !

L’escalade militaire causée par le rassemblement massif de troupes russes près de la frontière ukrainienne fait qu’en ce moment l’Europe est plus proche de la guerre qu’à n’importe quel autre moment depuis 1945. La communauté internationale doit prendre des mesures immédiates pour désamorcer la situation et exhorter La Russie à retirer ses troupes des territoires ukrainiens et des frontières ukrainiennes.
Le 21 février, le président russe Vladimir Poutine a officiellement reconnu les deux régions sécessionnistes de l’est de l’Ukraine contrôlées par les rebelles pro-russes comme des États indépendants et a ordonné l’envoi de troupes russes dans ces territoires. Les rebelles des deux républiques autoproclamées revendiquent également le reste des régions de Donetsk et Louhansk en Ukraine comme leur territoire, au-delà des territoires qu’ils contrôlent déjà. Si Moscou soutient leurs revendications et étend son intervention militaire en Ukraine, cela pourrait mener à une guerre meurtrière pouvant affecter toute l’Europe.
De facto, pour les Ukrainiens la guerre alimentée par la Russie dure depuis 8 ans. Déjà en 2014, la Russie avait illégalement envahi, occupé et annexé la Crimée. Les rebelles des soi-disant républiques populaires de Donetsk et de Louhansk ont reçu un soutien financier, politique et matériel de la part des Russes. Au moins 2 000 000 de personnes ont dû fuir leurs foyers dans les régions occupées et annexées. Plus de 15 000 personnes ont aujourd’hui déjà perdu la vie dans ce conflit.
Jusqu’à présent, la Russie avait toujours nié sa participation au conflit dans l’est de l’Ukraine. Aujourd’hui une étape a été franchie par Vladimir Poutine qui déploie ouvertement l’armée russe dans ces territoires, ce qui constitue une violation flagrante de plusieurs lois et accords internationaux, notamment les accords d’Helsinki de 1975 (qui incluent les clauses sur « l’inviolabilité des frontières » en Europe) et la Mémorandum de Budapest de 1994 (dans lequel la Russie a accepté de respecter la souveraineté de l’Ukraine en échange de son abandon volontaire des armes nucléaires situées sur son territoire).

L’ingérence russe s’étend au-delà de l’Ukraine. Vladimir Poutine est prêt à tout pour assurer ce qu’il prétend être sa légitime sphère d’influence. En 2020, Poutine a permis au dictateur biélorusse Alexandre Loukachenko de rester au pouvoir en soutenant la répression brutale et l’élimination de toute dissidence en Biélorussie. Les événements récents au Kazakhstan ont également montré que le Kremlin fait tout son possible pour protéger des révolutions les régimes autoritaires impopulaires. La Russie est engagée dans des conflits en Transnistrie et en Géorgie. Ces jeux de pouvoir ne profitent à personne, y compris à la Russie elle-même. Ils ne profitent pas non plus à la démocratie et aux libertés.
Les Ukrainiens, les Biélorusses, les Russes et toutes les autres nations post-soviétiques ont le droit de déterminer leur propre avenir et de choisir démocratiquement leur propre voie politique. Nous méritons tous le respect de nos droits, ainsi que la paix et la prospérité. C’est pourquoi nous appelons les Nations Unies, la communauté internationale et le gouvernement suisse à faire tout ce qui est en leur pouvoir pour empêcher la guerre en Europe et réaffirmer leur engagement en faveur du droit international, des droits de l’homme et d’un développement démocratique de tous les pays et pour tous les peuples ! Dans l’immédiat, cela doit se traduire par des sanctions économiques larges et sévères contre le gouvernement et les oligarques russes, responsables de l’escalade militaire dans la région. Cela doit aussi se traduire par un soutien renforcé à toutes les forces démocratiques en Ukraine, en Russie et au Bélarus. Ce n’est qu’en faisant face ensemble à ce danger que nous pourrons éviter la prochaine grande menace pour la paix, la démocratie et la prospérité en Europe.

Rejoignez-nous pour protester contre la guerre ce samedi, le 26 février à 11h30 sur la Place des nations à Genève

Geneva Branch of the Ukrainian Society in Switzerland
Association des Bélarusses en Suisse RAZAM.CH
Association des Ukrainiens à Bâle UKRAINER IN BASEL
Groupe d’initiative Les Russes en Suisse contre la guerre

NO TO WAR, YES TO PEACE !
The escalation of the situation around Ukraine by the massive build-up of Russian troops near the Ukrainian border brought Europe closer to the real war than at any time since 1945. The international community must take immediate actions to de-escalate the situation and to urge Russia to withdraw its troops from the Ukrainian territories and away from the Ukrainian borders.
On 21 February, Russian President Vladimir Putin officially recognized the two breakaway regions in the Eastern Ukraine held by pro-Russian rebels as the independent states and ordered Russian troops into these territories. The rebels in the two self-proclaimed republics also claim the rest of the Donetsk and Luhansk regions in Ukraine as their territory, beyond the territories they already control. If Moscow supports their claims to this entire Donbas region and pushes further into Ukraine, the war affecting the entire Europe will break out.
De facto, there has been a war in Ukraine fueled by Russia going on for the past 8 years. Already back in 2014 Russia unlawfully invaded, occupied and annexed the Crimea. The rebels in the so-called Donetsk and Luhansk People’s Republics have been receiving financial, political, and material support from the Russians. At least 2,000,000 people had to flee their homes in the occupied and annexed regions. More than 15,000 people have already lost their lives in this conflict. Up until now, Russia has denied that it had been a party to the Eastern Ukrainian conflict. But now they are moving to openly deploy the Russian army in these territories, which is a clear breach of multiple international laws and agreements, including the 1975 Helsinki Accords (that include the clauses on the “inviolability of frontiers” in Europe), and the 1994 Budapest Memorandum (in which Russia has agreed to uphold the sovereignty of Ukraine).
The Russian interference has already gone beyond Ukraine. Putin is trying to rearrange and protect what he claims to be its sphere of influence. After 2020, Putin helped Belarusian dictator Alexander Lukashenko to stay in power by supporting the brutal suppression and elimination of any dissent in Belarus. Recent events in Kazakhstan have also shown that the Kremlin is doing everything possible to protect unpopular authoritarian regimes from revolutions. Russia has been engaged in conflicts in Transnistria and Georgia. Their power games are not beneficial to anybody, including Russia itself. Ukrainians, Belarusians, Russians and all other post-soviet nations have the right to determine their own future and to democratically choose their own political course. We all deserve respect to our rights, as well as peace and prosperity. That is why we call on the United Nations, the international community, and the Swiss government to do everything in their power to prevent the war in Europe and reaffirm their commitment to international law, human rights and democratic development of all people ! At minimum this shall result in immediate actions towards implementing severe economic sanctions against those responsible for the military escalation in the region. Only by standing up to this danger together we would be able to avoid the next big threat to European peace and prosperity.

Join us to say NO to war this Saturday, 26 February at 11.30 on the Place des Nations in Geneva

Geneva Branch of the Ukrainian Society in Switzerland
Association des Bélarusses en Suisse RAZAM.CH
Association des Ukrainiens à Bâle UKRAINER IN BASEL
Groupe d’initiative Les Russes en Suisse contre la guerre

Rejoignez-nous pour protester contre la guerre ce samedi, le 26 février à 11h30 sur la Place des nations à Genève

NON A LA GUERRE, OUI A LA PAIX !

L’escalade militaire causée par le rassemblement massif de troupes russes près de la frontière ukrainienne fait qu’en ce moment l’Europe est plus proche de la guerre qu’à n’importe quel autre moment depuis 1945. La communauté internationale doit prendre des mesures immédiates pour désamorcer la situation et exhorter La Russie à retirer ses troupes des territoires ukrainiens et des frontières ukrainiennes.
Le 21 février, le président russe Vladimir Poutine a officiellement reconnu les deux régions sécessionnistes de l’est de l’Ukraine contrôlées par les rebelles pro-russes comme des États indépendants et a ordonné l’envoi de troupes russes dans ces territoires. Les rebelles des deux républiques autoproclamées revendiquent également le reste des régions de Donetsk et Louhansk en Ukraine comme leur territoire, au-delà des territoires qu’ils contrôlent déjà. Si Moscou soutient leurs revendications et étend son intervention militaire en Ukraine, cela pourrait mener à une guerre meurtrière pouvant affecter toute l’Europe.
De facto, pour les Ukrainiens la guerre alimentée par la Russie dure depuis 8 ans. Déjà en 2014, la Russie avait illégalement envahi, occupé et annexé la Crimée. Les rebelles des soi-disant républiques populaires de Donetsk et de Louhansk ont reçu un soutien financier, politique et matériel de la part des Russes. Au moins 2 000 000 de personnes ont dû fuir leurs foyers dans les régions occupées et annexées. Plus de 15 000 personnes ont aujourd’hui déjà perdu la vie dans ce conflit.
Jusqu’à présent, la Russie avait toujours nié sa participation au conflit dans l’est de l’Ukraine. Aujourd’hui une étape a été franchie par Vladimir Poutine qui déploie ouvertement l’armée russe dans ces territoires, ce qui constitue une violation flagrante de plusieurs lois et accords internationaux, notamment les accords d’Helsinki de 1975 (qui incluent les clauses sur « l’inviolabilité des frontières » en Europe) et la Mémorandum de Budapest de 1994 (dans lequel la Russie a accepté de respecter la souveraineté de l’Ukraine en échange de son abandon volontaire des armes nucléaires situées sur son territoire).

L’ingérence russe s’étend au-delà de l’Ukraine. Vladimir Poutine est prêt à tout pour assurer ce qu’il prétend être sa légitime sphère d’influence. En 2020, Poutine a permis au dictateur biélorusse Alexandre Loukachenko de rester au pouvoir en soutenant la répression brutale et l’élimination de toute dissidence en Biélorussie. Les événements récents au Kazakhstan ont également montré que le Kremlin fait tout son possible pour protéger des révolutions les régimes autoritaires impopulaires. La Russie est engagée dans des conflits en Transnistrie et en Géorgie. Ces jeux de pouvoir ne profitent à personne, y compris à la Russie elle-même. Ils ne profitent pas non plus à la démocratie et aux libertés.
Les Ukrainiens, les Biélorusses, les Russes et toutes les autres nations post-soviétiques ont le droit de déterminer leur propre avenir et de choisir démocratiquement leur propre voie politique. Nous méritons tous le respect de nos droits, ainsi que la paix et la prospérité. C’est pourquoi nous appelons les Nations Unies, la communauté internationale et le gouvernement suisse à faire tout ce qui est en leur pouvoir pour empêcher la guerre en Europe et réaffirmer leur engagement en faveur du droit international, des droits de l’homme et d’un développement démocratique de tous les pays et pour tous les peuples ! Dans l’immédiat, cela doit se traduire par des sanctions économiques larges et sévères contre le gouvernement et les oligarques russes, responsables de l’escalade militaire dans la région. Cela doit aussi se traduire par un soutien renforcé à toutes les forces démocratiques en Ukraine, en Russie et au Bélarus. Ce n’est qu’en faisant face ensemble à ce danger que nous pourrons éviter la prochaine grande menace pour la paix, la démocratie et la prospérité en Europe.

Rejoignez-nous pour protester contre la guerre ce samedi, le 26 février à 11h30 sur la Place des nations à Genève

Geneva Branch of the Ukrainian Society in Switzerland
Association des Bélarusses en Suisse RAZAM.CH
Association des Ukrainiens à Bâle UKRAINER IN BASEL
Groupe d’initiative Les Russes en Suisse contre la guerre

NO TO WAR, YES TO PEACE !
The escalation of the situation around Ukraine by the massive build-up of Russian troops near the Ukrainian border brought Europe closer to the real war than at any time since 1945. The international community must take immediate actions to de-escalate the situation and to urge Russia to withdraw its troops from the Ukrainian territories and away from the Ukrainian borders.
On 21 February, Russian President Vladimir Putin officially recognized the two breakaway regions in the Eastern Ukraine held by pro-Russian rebels as the independent states and ordered Russian troops into these territories. The rebels in the two self-proclaimed republics also claim the rest of the Donetsk and Luhansk regions in Ukraine as their territory, beyond the territories they already control. If Moscow supports their claims to this entire Donbas region and pushes further into Ukraine, the war affecting the entire Europe will break out.
De facto, there has been a war in Ukraine fueled by Russia going on for the past 8 years. Already back in 2014 Russia unlawfully invaded, occupied and annexed the Crimea. The rebels in the so-called Donetsk and Luhansk People’s Republics have been receiving financial, political, and material support from the Russians. At least 2,000,000 people had to flee their homes in the occupied and annexed regions. More than 15,000 people have already lost their lives in this conflict. Up until now, Russia has denied that it had been a party to the Eastern Ukrainian conflict. But now they are moving to openly deploy the Russian army in these territories, which is a clear breach of multiple international laws and agreements, including the 1975 Helsinki Accords (that include the clauses on the “inviolability of frontiers” in Europe), and the 1994 Budapest Memorandum (in which Russia has agreed to uphold the sovereignty of Ukraine).
The Russian interference has already gone beyond Ukraine. Putin is trying to rearrange and protect what he claims to be its sphere of influence. After 2020, Putin helped Belarusian dictator Alexander Lukashenko to stay in power by supporting the brutal suppression and elimination of any dissent in Belarus. Recent events in Kazakhstan have also shown that the Kremlin is doing everything possible to protect unpopular authoritarian regimes from revolutions. Russia has been engaged in conflicts in Transnistria and Georgia. Their power games are not beneficial to anybody, including Russia itself. Ukrainians, Belarusians, Russians and all other post-soviet nations have the right to determine their own future and to democratically choose their own political course. We all deserve respect to our rights, as well as peace and prosperity. That is why we call on the United Nations, the international community, and the Swiss government to do everything in their power to prevent the war in Europe and reaffirm their commitment to international law, human rights and democratic development of all people ! At minimum this shall result in immediate actions towards implementing severe economic sanctions against those responsible for the military escalation in the region. Only by standing up to this danger together we would be able to avoid the next big threat to European peace and prosperity.

Join us to say NO to war this Saturday, 26 February at 11.30 on the Place des Nations in Geneva

Geneva Branch of the Ukrainian Society in Switzerland
Association des Bélarusses en Suisse RAZAM.CH
Association des Ukrainiens à Bâle UKRAINER IN BASEL
Groupe d’initiative Les Russes en Suisse contre la guerre

du samedi 26 février, 11h30 au , 0h0

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